L’Airspeeder Mk4, une voiture de course volante avec des pièces imprimées en 3D
Des courses de voitures volantes ? Vous ne rêvez pas, c’est un projet qui pourrait se concrétiser dans les années à venir. Piloter sur une route n’est plus suffisant, dorénavant, les constructeurs de véhicules vont plus loin. C’est le cas d’Alauda Aeronautics, un développeur d’avion électrique basé à Adélaïde, en Australie. Il nous dévoile l’Airspeeder Mk4, la première version de sa voiture électrique de course volante avec équipage. D’après le fabricant, il s’agit de l’avion électrique à décollage et atterrissage verticaux (eVTOL) le plus rapide du monde. Pour résumer, c’est comme la Formule 1, mais dans les airs ! Si nous nous intéressons à cette voiture révolutionnaire, c’est bien parce que l’impression 3D a joué un rôle dans la conception de ce modèle. En effet, elle intègre des pièces issues de la fabrication additive.
Dans le secteur de l’impression 3D, il existe peu d’exemples où la technologie a permis de façonner des voitures volantes. On peut citer uniquement Formula, un concept de véhicule futuriste créé par Hoversurf. Ce modèle était l’un des tout premiers dévoilé au grand public qui intègre des pièces imprimées en 3D. Désormais, Alauda Aeronautics change la donne. La société présente un concept de voiture volante qui sera utilisé pour faire des courses.
L’impression 3D pour fabriquer la chambre à combustion
Lors de la présentation de l’Airspeeder Mk4, Alauda Aeronautics a surtout loué les performances du véhicule. Mais un détail a retenu notre attention. En effet, le constructeur a annoncé que la chambre de combustion de la voiture de course volante a été fabriquée à l’aide de la fabrication additive. Aucune information n’a été donnée en ce qui concerne la technologie exploitée, même si en général, cette partie du véhicule est fabriquée à l’aide de métaux ou de céramiques. On peut donc se douter qu’une imprimante 3D métal a été utilisée. Cependant, l’entreprise australienne indique que cette pièce imprimée en 3D permettra de maintenir la température de la flamme d’hydrogène, la source d’énergie qui alimente le véhicule. La chambre de combustion permettra ainsi de réduire considérablement les émissions d’oxyde nitreux, communément appelé « gaz hilarant », un gaz à effet de serre avec un potentiel de réchauffement global de près de 300 fois supérieur à celui du dioxyde de carbone.
En ce qui concerne les performances de l’Airspeeder MK4, sa vitesse de pointe n’a rien à envier aux voitures de Formule 1. L’avion électrique peut monter jusqu’à 360 km/h. Le véhicule d’Alauda Aeronautics est propulsé par le turbogénérateur à hydrogène Thunderstrike de la société qui alimente en énergie les batteries et les moteurs. En termes de design, l’Airspeeder Mk4 ressemble à une version futuriste d’une voiture de course de la Formule 1. Quatre hélices viennent cependant remplacer les roues pour surélever l’avion. Ce modèle devrait ainsi participer à des premières courses en équipage prévues en 2024. « Le moment est venu pour les marques automobiles, les constructeurs OEM et les écuries les plus progressistes, innovants et ambitieux au monde de faire partie d’un nouveau sport automobile véritablement révolutionnaire », conclut Matt Pearson, PDG d’Alauda Aeronautics. Pour en savoir plus sur l’Airspeeder Mk4, cliquez ICI.
La compétition et les courses de F1 sont censés faire évoluer les futures technologies pour être utiliser sur des modèles standard,ne pas maîtriser les modèles stabilisateur gravitationnel et les modèles anaérobique de moteur a développer ou positif pour des raisons de politiques économiques ou d ignorance est indigne du 21siecle ,siècle de la quatrième dimension. La concurrence des technologies pourra s affronter se qui est très positif du moment que vous n imposer pas de limite de puissance et de technologie a employer même couvert par des brevets.Salutatios