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Bambu Lab A1 Mini, l’imprimante 3D à moins de 300 $, tiendra-t-elle ses promesses ?

Publié le 25 septembre 2023 par Mélanie W.
Bambu Lab A1 Mini

Depuis son entrée sur le marché de l’impression 3D de bureau, Bambu Lab a fait beaucoup de bruit avec ses solutions, y compris bien sûr l’originale X1 ainsi que les imprimantes 3D P1S et P1P. Aujourd’hui, le fabricant est de retour avec une nouvelle machine : la Bambu Lab A1 Mini. Cette imprimante a été conçue pour être rapide et sera la moins chère de la gamme du fabricant.

Nous vous avons déjà parlé des solutions de Bambu Lab. En effet, dans notre dernier article, nous avons examiné de plus près la P1S pour voir si elle était à la hauteur de l’engouement suscité. Mais la Bambu Lab A1 Mini est déjà un peu différente. Tout d’abord, il s’agit d’un « bed slinger ». Pour ceux qui ne le sauraient pas, les bed slingers représentent les machines cartésiennes dont le plateau bouge sur l’axe Y. Elles sont souvent comparés à la technique CoreXY plus conventionnelle qui est largement louée pour sa vitesse, sa stabilité et sa capacité à imprimer même des pièces verticales de grande taille.

La Bambu Lab A1 Mini et le Lite AMS Combo

Et pourtant, Bambu Lab, dès sa première campagne marketing, avait affirmé vouloir supprimer les bed slingers. L’A1 Mini s’écarte manifestement de cet objectif. Cependant, Bambu Labs affirme que cette imprimante 3D aura une vitesse et une qualité CoreXY pour une précision à grande vitesse. Cela est dû à un certain nombre de caractéristiques, notamment un cadre rigide, des rails entièrement métalliques, un capteur de pression de buse, des accélérateurs, un puissant MCU et un système avancé de contrôle des mouvements. Toutes ces caractéristiques font de cette machine une offre très attendue et peu coûteuse sur le marché.

Que peut-on attendre de la Bambu Lab A1 Mini ?

Bien entendu, le fait d’être un « bed slinger » a également eu d’autres répercussions sur la Bambu Lab A1 Mini, tout en contribuant à son prix plus bas. Tout d’abord, contrairement aux autres solutions proposées par l’entreprise, celle-ci ne dispose pas d’une chambre fermée. Elle présente néanmoins ses propres avantages. Par exemple, un cache-objectif pour bloquer la caméra et éviter les problèmes de confidentialité (une préoccupation de plus en plus fréquente chez les utilisateurs). Et comme mentionné précédemment, Bambu Lab semble avoir travaillé pour compenser les problèmes traditionnels des bed slingers avec des caractéristiques telles que des rails entièrement métalliques pour la fiabilité, un contrôle complet du filament, y compris un capteur de sortie et d’enchevêtrement, un contrôle en temps réel, etc.

La Bambu Lab A1 Mini comprend également la possibilité d’imprimer avec plusieurs couleurs (avec l’AMS lite qui n’est pas inclus dans le modèle le plus basique), le calibrage entièrement automatique (y compris le nivellement automatique du plateau et le z-offset) ce qui signifie qu’aucun ajustement manuel ne sera nécessaire, des coins lisses grâce à la compensation active du débit, l’impression silencieuse (à moins de 48 dB), la précision même avec une accélération de 10000 mm/s² et bien sûr l’intégration de MakerWorld, le nouveau logiciel de Bambu Lab. Le changement des buses a également été optimisé.

Actuellement, les imprimantes 3D Bambu Lab A1 Mini ne sont disponibles qu’en pré-commande, il reste donc à voir comment elles seront accueillies. Mais, compte tenu de la popularité de Bambu Lab, il semble probable que cette dernière solution gagnera sa place sous les feux de la rampe. Le modèle de base de la machine est proposé à partir de 299 $, tandis que le combo avec l’AMS Lite coûte environ 459 $ et le Mega Combo (qui inclut un cadeau gratuit) est disponible à partir de 509 $. Vous pouvez en savoir plus sur le site web de Bambu Lab ICI.

Que pensez-vous de l’imprimante 3D Bambu Lab A1 Mini ? Partagez votre avis dans les commentaires de l’article. Retrouvez toutes nos vidéos sur notre chaîne YouTube ou suivez-nous sur Facebook ou Twitter !

*Crédits de toutes les photos : Bambu Lab

Un commentaire

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  1. Cocax dit :

    « coreXY plus conventionnelles »…. Seulement pour ceux qui ont découvert l’impression 3d grand publique ces 2-3 dernières années…

    Au contraire, les bed singers étaient le standard ces 10 dernières années grâce à Prusa et tous les modèles inspiré du projet Open-source. Les coreXY étaient des modèles à la marges il y a peu. Suffit de comparer les références des deux côtés pour s’en rendre compte.

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